José Mourinho s'est rendu en conférence de presse avant le match opposant le Real Madrid au Real Valladolid.
Sur son éventuel départ : « Je n’ai pas pris ma décision, si je pars ou non. Les premiers à le savoir seront ma femme et mes fils. Je peux confirmer que j’ai cinq matches à jouer et une finale de Coupe. Nous parlerons de mon avenir en fin de saison avec le président, comme des amis que nous sommes. Nous nous assoirons autour d’une table et nous parlerons tranquillement »
Sur les entraîneurs dans les différents grands clubs : « À Paris, on dit que Carlo part. Au Bayern, qui est champion et bat des records, l’entraîneur part et Guardiola arrive. À City, on dit que Roberto part, à Chelsea, Benitez s’en va en fin de saison. De nombreux clubs vivent des situations similaires. Dans certains, il y aura des changements, dans d’autres non. Les entraîneurs travaillent de manière professionnelle. Nous nous adaptons. J’ai le plaisir et l’honneur de travailler dans ce club »
Sur la Champions League et la "Décima" : « Chelsea a gagné la Ligue des Champions sans moi et j’ai tout de même été ému. Quand je travaille dans un club, je commence à l’aimer. Peu importe qui est l’entraîneur, qui est le président. Le jour où je quitterai le Real, ça sera pareil. Je veux que le Real gagne la Décima. Si c’est avec moi, parfait. Si non, que ce soit avec un autre. J’aime ce club, c’est comme ça. Je suis heureux quand Chelsea gagne. Quand je pars, je ne souhaite que du bonheur. Je ne veux pas de mal. Je veux que le Real gagne la Décima, ce sera toujours une joie pour moi »
« En 21 ans, 18 entraîneurs pour 5 demi-finales. Et le mauvais, c’est Mou... Je trouve que quand on parle de mon travail, on ne parle jamais de mon palmarès et je ne parle pas du Real ni des journalistes, dans l’absolu. J’ai tellement gagné, tellement, que l’on attend toujours plus de toi, plus même que ce que tu peux gagner. Je vais vous dire : la Liga des records est à moi. Peut-être veux-tu l’effacer, mais tu n’y arriveras pas. Vingt ans sans gagner une Coupe : ce n’est pas facile. Ça non plus tu ne l’effaceras pas »
Sur le record en Liga : « Le record des 100 points n’est pas facile à battre. Le Barça de cette saison peut y arriver et s’il y parvient, ce sera probablement parce qu’il est la meilleure équipe du monde sur les 20 ou 30 dernières années. Je continue à dire que c’est une fierté d’avoir rompu l’hégémonie au niveau national, parce qu’au niveau international, c’est l’Inter qui l’a fait »
Sur ses situations par rapport à la presse : « Je ne ressens aucune pression de la part de la presse. Ce n’est pas un problème pour moi. La seule pression que je ressens, c’est celle que je me mets. Dans tous les clubs où je suis passé, il n’y a rien de négatif, bien au contraire. Le jour où je partirai d’ici, ça ne sera pas différent »
Sur son éventuel départ : « Je n’ai pas pris ma décision, si je pars ou non. Les premiers à le savoir seront ma femme et mes fils. Je peux confirmer que j’ai cinq matches à jouer et une finale de Coupe. Nous parlerons de mon avenir en fin de saison avec le président, comme des amis que nous sommes. Nous nous assoirons autour d’une table et nous parlerons tranquillement »
Sur les entraîneurs dans les différents grands clubs : « À Paris, on dit que Carlo part. Au Bayern, qui est champion et bat des records, l’entraîneur part et Guardiola arrive. À City, on dit que Roberto part, à Chelsea, Benitez s’en va en fin de saison. De nombreux clubs vivent des situations similaires. Dans certains, il y aura des changements, dans d’autres non. Les entraîneurs travaillent de manière professionnelle. Nous nous adaptons. J’ai le plaisir et l’honneur de travailler dans ce club »
Sur la Champions League et la "Décima" : « Chelsea a gagné la Ligue des Champions sans moi et j’ai tout de même été ému. Quand je travaille dans un club, je commence à l’aimer. Peu importe qui est l’entraîneur, qui est le président. Le jour où je quitterai le Real, ça sera pareil. Je veux que le Real gagne la Décima. Si c’est avec moi, parfait. Si non, que ce soit avec un autre. J’aime ce club, c’est comme ça. Je suis heureux quand Chelsea gagne. Quand je pars, je ne souhaite que du bonheur. Je ne veux pas de mal. Je veux que le Real gagne la Décima, ce sera toujours une joie pour moi »
« En 21 ans, 18 entraîneurs pour 5 demi-finales. Et le mauvais, c’est Mou... Je trouve que quand on parle de mon travail, on ne parle jamais de mon palmarès et je ne parle pas du Real ni des journalistes, dans l’absolu. J’ai tellement gagné, tellement, que l’on attend toujours plus de toi, plus même que ce que tu peux gagner. Je vais vous dire : la Liga des records est à moi. Peut-être veux-tu l’effacer, mais tu n’y arriveras pas. Vingt ans sans gagner une Coupe : ce n’est pas facile. Ça non plus tu ne l’effaceras pas »
Sur le record en Liga : « Le record des 100 points n’est pas facile à battre. Le Barça de cette saison peut y arriver et s’il y parvient, ce sera probablement parce qu’il est la meilleure équipe du monde sur les 20 ou 30 dernières années. Je continue à dire que c’est une fierté d’avoir rompu l’hégémonie au niveau national, parce qu’au niveau international, c’est l’Inter qui l’a fait »
Sur ses situations par rapport à la presse : « Je ne ressens aucune pression de la part de la presse. Ce n’est pas un problème pour moi. La seule pression que je ressens, c’est celle que je me mets. Dans tous les clubs où je suis passé, il n’y a rien de négatif, bien au contraire. Le jour où je partirai d’ici, ça ne sera pas différent »
#Antony
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